Source D.G.
Publié dans : L’autre 2022, Vol. 23, n°1
Parmi les publications de Marika Moisseeff
Moisseeff, M. (2019). Assumer une responsabilité relationnelle : un facteur de résilience en Australie aborigène. Revue belge de psychanalyse, 75, 11-25.
Moisseeff, M. (2014). Métissage et hiérarchisation des cultures ou les soubassements idéologiques de l’essentialisation des différences. Alterstice – Revue Internationale de la Recherche Interculturelle, 4(2),25-38. (En ligne) [http://journal.psy.ulaval.ca/ojs/index.php/ARIRI/article/view/Moisseeff_ Alterstice4(2)/pdf
Moisseeff, M. (2012). L’Objet de la transmission : un choix culturel entre sexe et reproduction, Dans Karl-Léo. Schwering (dir.). Se construire comme sujet entre filiation et sexuation, (pp. 47-76), Érès.
Moisseeff, M. (2004). Dépendance nourricière et domination culturelle : une approche anthropologique des addictions. Psychotropes, 10(3-4), 31-50.
Moisseeff, M. (2004). Le couple comme espace initiatique.Thérapie familiale, 25(2), 155-169.
Géry, M, Mouchenik, Y. Réintroduire de l’incertitude. Entretien avec Marika Moisseeff. L’autre, cliniques, cultures et sociétés, 2022, volume 23, n°1, pp. 7-18
Marika Moisseeff est ethnologue et psychiatre pour adultes et enfants. Chercheuse au CNRS, elle est membre du Laboratoire d’anthropologie sociale (Collège de France/EHESS/ CNRS-Université de recherche PSL). Ses recherches, qui portent sur les processus de constitution des identités, se fondent sur une approche comparative des représentations du sexe et de la procréation, et sur un travail de terrain en Australie aborigène. Elles l’ont amenée à travailler sur les rites d’initiation et de fertilité et les objets cultuels qui y sont manipulés, et à proposer de considérer la science-fiction comme la mythologie occidentale contemporaine, et l’institution médicale comme une institution religieuse laïque à laquelle revient la gestion des corps vivants et morts.
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