© Sarah Arnal Source D.G.
Publié dans : L’autre 2005, Vol. 6, n°2
Comme l’âme, le corps malade appelle la pluralité des soignants, la complexité des savoirs. Pas plus qu’elle, il n’échappe aux représentations culturelles. Bousculé par la migration, les changements et les traumatismes, il s’impose parfois comme le véhicule des douleurs inconscientes de l’exil ou des épouvantes innommables. Soigner le corps devient une tâche où se mobilisent et se conjuguent des regards multiples sur le théâtre de nos conflits.
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