« On ne possède éternellement que ce qu’on a perdu. »
Henrik Ibsen
La mémoire est devenue un devoir. De faculté de l’âme humaine envisagée selon ces capacités ou ses défaillances, elle est devenue une obligation morale, et même sociale et politique. La mémoire et ses politiques sont désormais au centre de la vie collective, mais en même temps elles provoquent bien des interrogations et contestations (Lalieu 2001 ; Kattan 2002 ; Theullot 2004).
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