C’est en visitant, à l’automne 2002, l’exposition Le geste Kôngo organisée par le Musée Dapper, que nous avons eu l’idée de cet article. Cette exposition magnifiquement présentée, qu’accompagnait un très intéressant catalogue (Falgayrettes-Leveau et Farris Thompson, 2002), montrait en effet des chefs-d’œuvre de la sculpture kongo provenant de diverses collections publiques et privées françaises et européennes, ainsi que des peintures contemporaines des Amériques noires se référant à l’héritage kongo : elle s’interrogeait à la fois sur la facture et la gestuelle de la statuaire kongo, mais aussi sur sa fonction divinatoire, thérapeutique et religieuse…
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